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International

Conflit en Ukraine : les dernières informations

L'intervention armée visant selon la Russie à «démilitariser» l'Ukraine, suit son cours, après la reconnaissance par Moscou de l'indépendance des républiques autoproclamées du Donbass. De nombreux pays dénoncent ce qu'ils qualifient d'invasion.


Mise à jour automatique

  • vendredi 7 avril

    16h54 CET

    En visite en Turquie ce 7 avril, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a affirmé que le règlement du conflit en Ukraine passerait par la remise en cause de l’ordre international actuel dominé, selon lui, par Washington.

    «Certains experts internationaux, des représentants de certains pays tentent de présenter des initiatives du type «mettons maintenant la Russie et l’Ukraine à la table des négociations». C’est un symptôme de la situation qui s’est développée à la suite de la mise en place par les Etats-Unis d’une hégémonie totale dans les relations internationales», a ainsi jugé le chef de la diplomatie russe, s’exprimant devant la presse à l’issue d’un entretien avec son homologue turc Mevlüt Cavusoglu.

    Et d’ajouter : «Par conséquent, il s’agit [de définir] les principes sur lesquels le nouvel ordre mondial sera fondé, dont nous avons tous besoin, au lieu de l’ordre mondial unilatéral, de l’ordre mondial d’un seul hégémon, comme l’a dit notre président.»




    En Turquie, le chef de la diplomatie russe prône un nouvel ordre mondial fondé sur la multipolarité


  • mercredi 5 avril

    18h09 CET

    Le président français Emmanuel Macron a déclaré selon l’AFP, depuis Pékin, que «quiconque aiderait l’agresseur» dans le conflit en Ukraine «se mettrait dans la situation d’être complice d’une infraction au droit international», à propos d’une éventuelle livraison d’armes par la Chine à la Russie.

    Pour autant, le chef d’Etat a indiqué, en réponse à des questions de journalistes, qu’il ne brandirait pas la menace de sanctions lors de son entretien avec Xi Jinping prévue le 6 avril, car «ce n’est jamais une bonne manière d’engager que de menacer».

  • 15h19 CET

    Le président polonais a déclaré que son pays était prêt à livrer à Kiev, «à l’avenir», l’ensemble de sa flotte de chasseurs MiG-29 de conception soviétique. 

    La Pologne, qui a déjà fourni à l’Ukraine huit MiG-29 et va en envoyer six autres prochainement, sera «à l’avenir, en mesure de transférer à l’Ukraine l’ensemble de sa flotte de MiG», soit au total une trentaine d’appareils, «moyennant un accord de ses alliés» dans l’OTAN, a déclaré Andrzej Duda, au cours d’une conférence de presse avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky.

    Le chef de l’Etat polonais a expliqué la nécessité de ce feu vert par le fait que les MiG-29 qui restent encore en possession de son pays ont été «adaptés aux normes de l’OTAN», notamment en ce qui concerne les systèmes de communication et la capacité d’assurer des missions de surveillance de l’espace aérien des alliés.

  • vendredi 31 mars

    20h45 CET

    Le président français Emmanuel Macron a accusé Moscou d’avoir «laissé faire, voire encouragé» des crimes de guerre en Ukraine.

    «L’agression russe a conduit à une systématisation des crimes de guerre contre l’Ukraine et contre sa population», a-t-il déclaré dans un message vidéo diffusé lors d’un sommet à Kiev sur les crimes présumées de Boutcha, à l’occasion du premier anniversaire de la reprise de cette localité par les forces de Kiev.

    Depuis le début de son offensive en Ukraine, Moscou a démenti systématiquement les accusations de crimes de guerre adressées par les Occidentaux à son encontre. Au sujet de Boutcha en particulier, deux narratifs s’affrontent : le ministère russe de la Défense affirme que ses forces se sont complètement retirées de Boutcha le 30 mars et que les «preuves de crimes» ne sont apparues que quatre jours plus tard, lorsque des agents des services de sécurité ukrainiens sont arrivés de la ville ; des images satellite américaines, à l’inverse, témoigneraient de la présence de corps gisant dans la rue dans cette la ville depuis la mi-mars.

  • 13h40 CET

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a juré de vaincre «le mal russe  en visitant Boutcha avec plusieurs dirigeants européens, à l’occasion du premier anniversaire de la reprise par les forces ukrainiennes de cette ville, où les Russes sont accusés par les Occidentaux d’avoir tué de nombreux civils. 

    «Nous allons gagner c’est certain, le mal russe tombera, justement ici en Ukraine et ne pourra plus se relever», a-t-il martelé devant les Premiers ministres croate Andrej Plenkovic, slovaque Eduard Heger, slovène Robert Golob et la présidente moldave Maia Sandu. 

    Deux narratifs s’affrontent au sujet des crimes présumés dans la ville d’Ukraine en question : le ministère russe de la Défense affirme que ses forces se sont complètement retirées de Boutcha le 30 mars et que les «preuves de crimes» ne sont apparues que quatre jours plus tard, lorsque des agents des services de sécurité ukrainiens sont arrivés de la ville ; des images satellite américaines, à l’inverse, témoigneraient de la présence de corps gisant dans la rue dans cette la ville depuis la mi-mars.

  • mercredi 29 mars

    15h50 CET

    Le chef de l’AIEA, Rafael Grossi, a affirmé «essayer» de trouver un compromis entre Moscou et Kiev pour sécuriser la centrale nucléaire de Zaporojié. Il s’est exprimé lors d’une visite sur le site de cette centrale nucléaire sous contrôle des autorités russes, et pour laquelle la Russie a invité la presse dont l’AFP.

    «J’essaie de préparer et de proposer des mesures réalistes qui seront approuvées par toutes les parties», a déclaré le patron de l’AIEA, en précisant que ce compromis concernerait la centrale en elle-même et non plus seulement une zone de sécurité autour de celle-ci, sur laquelle portaient jusque-là les négociations, infructueuses. «Il faut éviter une catastrophe», a-t-il ajouté, regrettant que «l’activité militaire est à la hausse dans toute cette région» avec notamment une «augmentation significative du nombre de soldats».

  • 11h33 CET

    Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi est arrivé ce 29 mars sur le territoire de la centrale nucléaire de Zaporojié, sous contrôle des autorités russes.

    Il s’agit de la deuxième visite de Rafael Grossi sur le site de la plus grande centrale nucléaire d’Europe, depuis le lancement de l’opération militaire russe en Ukraine en février 2022.

    Depuis le début du conflit, les autorités russes et ukrainiennes se sont accusées réciproquement de frappes sur le site de cette infrastructure.

  • mardi 28 mars

    17h45 CET

    Le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, a exigé que Moscou se retire de «chaque mètre carré» de l’Ukraine, soulignant qu’il ne pouvait y avoir de paix avec la Russie «à n’importe quel prix».

    «Je veux être très clair, la Russie doit se retirer de chaque mètre carré de territoire ukrainien. Il ne peut y avoir de malentendu sur ce que signifie le mot retrait», a-t-il affirmé, s’adressant virtuellement à un forum de discussion sur «la paix en Ukraine» sous les auspices des Etats-Unis.

    «Dans cette guerre, nous défendons le monde démocratique dans son ensemble», a-t-il ajouté. «Aucun autre pays ne veut plus la paix que l’Ukraine. Mais la paix à n’importe quel prix est une illusion», a-t-il conclu.

  • 13h17 CET

    La France va doubler le nombre d’obus de 155 mm livrés à l’Ukraine, les portant à 2 000 par mois, a annoncé le ministre français des Armées Sébastien Lecornu dans un entretien au quotidien Le Figaro.

    Paris va «livrer des équipements terrestres nécessaires à la contre-offensive de l’Ukraine : nous doublons ainsi la livraison d’obus de 155 mm pour la porter à 2 000 par mois à partir de cette fin mars», a-t-il affirmé dans un entretien croisé avec le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.

  • dimanche 26 mars

    16h56 CET

    L’administration du district de Toula, en Russie, a rapporté une explosion dans plusieurs immeubles d’habitation à Kireïevsk. Trois personnes ont été blessées. Les autorités policières ont indiqué qu’un drone en était à l’origine.

    «Le régime de Kiev a tenté une offensive en utilisant un drone d’attaque Strij (Tu-141)», a déclaré le ministère russe de la défense, revendiquant l’avoir abattu en désactivant son système de navigation grâce au système de guerre électronique Pole-21.

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